Le Collectif des Locataires de la cité du Général devient :
Collectif Aubagnais pour la maîtrise des ondes électromagnétiques de téléphonie mobile.
L'espérance de vie augmente nous dit-on dans les médias. A la cité du général comme aux alentours, (école maternelle à 30 mètres, maison de retraite à 10 mètres) on espère rester dans la moyenne !.
Les antennes relais de téléphonie mobile implantées sur le toit de l'immeuble situé avenue de verdun (17 installées à ce jour + 3 à venir) sont-elles aussi inoffensives pour notre santé que le prétendent les opérateurs, les directions d' HLM, et certains de nos dirigeants !. ( Madame la Ministre de l'économie numérique Fleur Pellerin met en garde contre les "peurs irrationnelles" dont seraient pris les résidents et les riverains des lieux d'implantations d'antennes relais. )
Les habitants riverains de la Cité du Général pensent le contraire (voir l'enquête de santé réalisée par l'ASEF, Association de plus de 2500 médecins français sur les résidents de l'immeuble du Général à Aubagne) comme l'O.M.S. qui a classé dans le Groupe 2B cette fammille d'émissions.
Le même Groupe que le plomb, que la laine de verre, que le Bisphénol A aujourd'hui interdit, et que la chlordécone, les vapeurs de diesel.
31 Mai 2011 Identité du Groupe : peut causer le cancer.
Dans plusieurs Etats, la France en fait Partie, ce classement ouvre des risques vers des actions pénales.
Les locataires des ensembles HLM ne sont pas des hommes et des femmes de seconde catégorie.

lundi 25 février 2013

Aubagne : Capitale européenne des antennes relais 2013

Cité le Général : Venez visiter en avant première les 17 antennes relais implantées sur le toit terrasse de l'immeuble du GénéralEntrée gratuite. Protection nécessaire non fournie contre les ondes électromagnétiques.
Un projet de loi qui n'a pas abouti sur le fond. Il a été édulcoré jusqu'à être vidé de son sens. La majorité socialiste a fait marche arrière devant les intérêts financiers des lobbys des opérateurs téléphoniques. En attendant, les locataires de l'immeuble du Général  vivent avec 17 antennes relais sur le toit terrasse de leur  immeuble, avec en face, à moins de 30 mètres une école maternelle et une résidence pour personnes âgées. 
Quid du Principe de Précaution ?  
Si demain les autorités sanitaires démontraient un lien direct entre les pathologies graves et les ondes électromagnétiques, qui sera responsable ?
Le Collectif du Général et ses partenaires de l' ASEF Provence et PRIARTéM, sans oublier tous les autres acteurs qui lutent pour une réglementation des implantations d' antennes relais de téléphonie mobile n'ont de cesse de placer les acteurs institutionnels devant leurs responsabilités et leur domaine de compétence pour qu'ils ne puissent plus se réfugier sur le sempiternel << Nous ne savions pas >>.

vendredi 15 février 2013

Antennes Relais Aubagne - La 4G arrive, le collectif accuse ses interlocuteurs de mensonges et de tromperies

Le Collectif du Général en a marre de se faire "Bananer"

Procédé "scandaleux"

Une nouvelle fois, on ment, on gruge et on méprise les locataires du Général !





mardi 12 février 2013

Développement de la 4G - Voeux de Fleur Pellerin à la FFT : Les opérateurs ont le soutien sans réserve du Gouvernement !

Lorsque la Ministre se met au service des industriels en piétinant les préoccupations de santé publique



11 février 2013 
La Ministre du développement numérique s’est permis, le 30 janvier, la veille du débat à l’Assemblée nationale sur la Proposition de loi de Laurence Abeille, d’intervenir lors de la cérémonie des voeux de la Fédération des Télécommunications pour les assurer du plein soutien du Gouvernement.
C’est dommage, sur la vidéo que l’on trouve sur le site de la FFT, on ne voit pas les mines que l’on suppose pourtant réjouies des opérateurs à l’écoute de « leur » ministre.
Nous avons souvent dénoncé la connivence entre les responsables politiques et les milieux industriels mais, là, il faut dire que Fleur Pellerin a fait très fort ! La coïncidence de calendrier est parfaite. Elle va répéter devant les industriels le discours de soutien sans nuance qu’elle va tenir le lendemain à l’Assemblée nationale. Après un tel engagement en leur faveur, on comprend l’acharnement de la ministre le lendemain à faire adopter le dépôt d’une motion de renvoi en commission du groupe socialiste. Quelques uns sont réticents qui voudraient faire introduire dans notre droit l’application du principe de précaution ?
La ministre est prête à utiliser tous les arguments : l’emploi, les finances, le progrès et y compris même en y ajoutant des éléments de démonstration totalement farfelus que les opérateurs lui ont soufflés et qu’elle a repris sans hésiter et surtout sans vérifier. Ainsi n’affirme-t-elle pas avec un sérieux péremptoire qu’ « « une personne qui téléphone pendant une demi-heure avec un téléphone collé à l’oreille est exposée à un niveau d’ondes équivalent à celui qu’elle aurait reçu en vivant pendant cinquante ans, sans jamais téléphoner, à proximité d’une antenne-relais.. » » Ce serait risible s’il ne s’agissait pas d’un dossier de santé publique qui concerne une très large majorité de la population et de façon de plus en plus précoce. Ce serait risible si n’existaient pas déjà de très nombreux éléments de la preuve d’effets sur nos organismes de l’exposition aux radiofréquences.

- Voeux de la Fédération Française des Télécommunications, mercredi 30 janvier 2013, extrait du discours de son président, Pierre Louette :

« “A l’heure où le Gouvernement montre sa détermination dans le soutien à la filière numérique en se dotant d’un nouveau CNN, d’un Observatoire du Numérique et d’un Comité stratégique de la filière numérique rénové, je me réjouis donc, au nom de la Fédération, d’avoir des interlocuteurs politiques, en particulier au Gouvernement, tout à fait conscients des réalités de notre secteur et soucieux de lui permettre de tenir ses promesses en termes de croissance et de compétitivité du pays." »
 PRIARTéM - Association Loi de 19015, Cour de la Ferme Saint-Lazare 75010 ParisTél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 - Contactez-nous

lundi 11 février 2013

Ondes électromagnétiques - Proposition de loi 531 : Robin des Toits écrit au Premier Ministre Jean Marc Ayrault


Monsieur Jean-Marc AYRAULT
Premier Ministre

Monsieur le Premier Ministre,

L’association nationale Robin des Toits pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil tient à vous faire part de son indignation quant à la façon dont s’est déroulée la séance du 31 janvier 2013 à l’assemblée.

Lors de cette séance de sinistre mémoire, en effet, la courageuse proposition de loi déposée par Mme Laurence ABEILLE, députée EELV, déjà passablement élaguée en commission, et malgré la modestie de son contenu (éviction du WIFI dans les crèches et écoles, réduction des émissions d’ondes au domicile par une désactivation facilitée du WIFI, étude d’impact avant déploiement d’une nouvelle technologie…) a fait l’objet d’un renvoi en commission, ce qui, compte tenu de la rareté des « niches » parlementaires disponibles, équivaut à un enterrement pur et simple. Pendant ce temps, Mme Fleur PELLERIN se répandait par voie de presse sur les « peurs irrationnelles » à propos des ondes.
Les scientifiques indépendants, l’OMS, le Conseil de l’Europe, la cour suprême italienne, qui se sont prononcés dans le sens du risque, apprécieront.

Comment peut-on être aussi indécent avec la Santé Publique, d’une part, la démocratie, d’autre part, alors que des milliers d’études indépendantes  - on ne compte pas naturellement les études rassurantes financées par l’industrie pour entretenir le doute, sur le modèle de ce qui s’est fait pour le tabac -  attestent la nocivité des ondes à des degrés d’exposition bien inférieurs aux normes actuelles, en particulier en termes de développement des cancers, de déclenchement ou d’aggravation des maladies neuro-dégénératives, de troubles du développement et du comportement chez l’enfant (hyperactivité, autisme), et d’atteinte à la fertilité et à l’ADN ?
Ces questions ne méritent-elles pas un vrai débat, alors que les élus locaux sont confrontés à l’inquiétude croissante des populations et à la brutalité sans limites des opérateurs quand il s’agit d’installer une antenne, fut-ce au-dessus d’une crèche ?

Comment avez-vous pu faire entrevoir à Mme ABEILLE, la veille du débat, des « avancées » en séance plénière pour ensuite faire voter ce renvoi scélérat en commission ?
Qu’est-il encore besoin d’attendre, alors que les études s’accumulent et que l’OMS, qu’on ne peut pourtant pas soupçonner de dureté excessive vis-à-vis de l’industrie, a classé les radiofréquences (toutes les radiofréquences : aussi bien les téléphones que les antennes ou le WIFI) en « cancérogènes possibles » ? Ce classement suffit, à lui seul, à montrer la nécessité d’une action immédiate, sans attendre un Nième rapport de l’ANSES, à l’eau tiède nécessairement puisqu’il fait masse d’une quantité de données contradictoires et pour une part frelatées.

Les citoyens ne sont ni dupes ni naïfs ; ils savent bien ce qui se passe ; ils n’ignorent pas que les opérateurs sont en coulisses, avec à leur actif les milliards de la 4G. Seulement, voyez-vous, maintenant tout cela se voit et se sait, et l’autorité publique n’en sort pas grandie. Quel respect peut-on encore avoir pour un monde politique qui n’est que le laquais d’intérêts commerciaux parfaitement indifférents à la Santé Publique et au bien-être ?

L’emploi ? mais quel emploi ? Quelques postes de vendeurs peut-être ; mais l’industrie dont on parle n’est pas, au fond, une industrie française. Les téléphones sont manufacturés en Asie du Sud-Est, tandis que les antennes sont fabriquées en Chine. Même les centres d’appels des opérateurs sont délocalisés dans des pays à moindre coût !! D’ailleurs, si l’on regarde, les années de développement intensif des technologies sans fil ne sont pas des années de croissance et d’emploi, tant s’en faut, signe certain d’une fausse innovation non facteur de progrès. Pour quelques emplois créés, il y en a beaucoup  détruits, ne serait-ce que du fait du processus de dématérialisation non maîtrisé. Voyez ce qui se passe dans les industries culturelles. Non, vraiment, vos amis les opérateurs ne méritent pas tous les égards que vous déployez pour eux.

Monsieur le Premier Ministre, n’oubliez pas que les socialistes ont aussi été élus en 2012 grâce à toute une mouvance critique, associative et alternative, qui n’en pouvait plus de cette proximité insupportable entre le pouvoir politique et un certain nombre d’industries cupides et cyniques, dont l’affaire du Mediator a été la dernière illustration. On attend d’un pouvoir de gauche qu’il sache garder une juste distance face à une industrie qui n’a aucun souci du bien commun et qu’il l’encadre par une juste réglementation qui, d’ailleurs, préservera sa croissance à long terme.
Si la gauche ne tient pas cette promesse, tous ceux qui ont des attentes à cet égard se tourneront ailleurs.

Monsieur le Premier Ministre, acceptez de voir cette catastrophe sanitaire, acceptez ce débat crucial pour la Santé Publique comme pour la Démocratie. Ne dépensez pas les derniers deniers du crédit politique, emparez-vous enfin de cette question et soumettez-là à un vrai débat.

Dans cette attente, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Premier Ministre, l’expression de nos sentiments respectueux et dévoués en même temps que celle de notre vive inquiétude.


Etienne CENDRIER
Porte-Parole national

ROBIN DES TOITS
Correspondance : 33 rue d'Amsterdam 75008 Paris
Tél. : 33 1 47 00 96 33
E-mail : contact@robindestoits.org

vendredi 8 février 2013

Ondes électromagnétiques - Très important : Un appel de syndicalistes pour réduire les ondes au travail



Des syndicalistes, issus notamment de France Telecom-Orange, de la RATP, de la Banque de France, de Géodis, de la Bibliothèque nationale de France, du groupe L’Oréal ou de la Ville de Paris, appartenant à differentes confédérations (CFDT, CFTC, CGT, SUD et FSU), lancent un appel pour réduire l’exposition aux ondes électromagnétiques sur le lieu de travail.
Ils demandent notamment "aux employeurs d’adopter un principe de prévention pour prévenir les effets toxiques des CEM (champs électromagnétiques)" et à la médecine du travail "de prendre en compte ces nouvelles pathologies environnementales" liées aux ondes.
Les signataires disent constater "depuis plusieurs années que l’exposition croissante et permanente des travailleurs à des champs électromagnétiques à micro-ondes pulsées dans leur cadre professionnel et sur leur lieu de travail entraîne pour leur santé des conséquences de plus en plus significatives et parfois même dramatiques".
Avec pour conséquence, ajoutent-ils, de dégrader leurs conditions de travail et d’entraîner des "pathologies chroniques" voire des "démissions contraintes ou des licenciements".
Les syndicalistes rappellent une décision de la Cour suprême italienne, datant du 12 octobre 2012, venant "confirmer le lien de causalité entre l’usage professionnel intensif du téléphone mobile et la tumeur cancéreuse cérébrale affectant un agent commercial".
Les signataires demandent aux élus de suivre les recommandations internationales "en vue de limiter au maximum l’exposition des travailleurs aux effets sanitaires nocifs" des champs électromagnétiques.
Il s’agit là d’une nouvelle étape importante dans le combat pour obtenir de nouvelles réglementations plus protectrices de la santé. Jusqu’à présent les appels de travailleurs étaient restés individuels, un technicien en charge de l’installation et de la maintenance d’antennes-relais atteint d’une leucémie ; un technicien de France-Télécom qui avait participé à la mise en concordance des différents réseaux atteint et depuis décédé d’un cancer… Il y a quelques années, un médecin du travail de France-Télécom avait sonné l’alerte manifestement jamais entendu…
Cette fois des syndicalistes en position de responsabilité dans leur entreprise ou dans leur syndicat prennent les choses en main et ceci peut modifier la donne, notamment sur l’électrosensibilité.

8 février 2013 - par Priartem - Thème : La gestion des risques
Mots-clés associés à cet article : Mobilisation

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mercredi 6 février 2013

Portables et lycéens : L'ASEF Provence a réalisé une enquête (600 élèves de 14 à 20 ans) sur les risques liés à la téléphonie mobile

affichepacksmartphoningbdA l’automne dernier, l’antenne Provence de l’Association Santé Environnement France a réalisé une campagne de sensibilisation dans les lycées de Provence sur les risques liés à la téléphonie mobile. Dans le cadre de cette opération, chaque lycée et centre de formation a reçu deux posters-conseils et dans une douzaine d'entre eux des ateliers de sensibilisation ont été organisés. C’est à cette occasion que nous avons réalisé notre enquête. En effet, chaque élève ayant participé aux conférences a rempli un questionnaire pour faire le point sur sa consommation, ce qui nous permet aujourd’hui de disposer de données chiffrées. Retour sur les réponses de 600 élèves âgés de 14 à 20 ans. Parmi eux, nous comptons autant de filles que de garçons.
Aujourd’hui, le téléphone et les ados
Premier constat : les utilisateurs commençent très jeunes
Notre enquête a révélé que plus des 3/4 des adolescents ont eu leur premier téléphone avant 14 ans. Un tiers d’entre eux l’ont même eu avant l’âge de 10 ans. Nous pressentions déjà cette tendance mais cela nous a permis de mesurer l’urgence ! Des études ont montré que plus les utilisateurs sont jeunes, plus les ondes pénètrent loin dans le cerveau [1]. D’où l’intérêt de les sensibiliser à l’utilisation d’un kit main libre.
Deuxième constat : les jeunes sont de très gros consommateurs
La quasi-totalité des jeunes interrogés (85%) préfèrent envoyer des textos plutôt que de passer des appels. Malgré cela on peut tout de même voir qu’ils passent beaucoup de temps au téléphone et ce, sans utiliser de kit main libre ! En effet, seulement 20% en utilisent un. Nous avons d’ailleurs constaté sur le terrain, que de nombreux lycéens ne savaient pas ce qu’était un kit main libre... Difficile alors de l’utiliser !

Suite résultats de l'enquête (graphiques)

Écrit par S. Norest Créé le mardi 22 janvier 2013 07:58

vendredi 1 février 2013

Proposition de loi « Ondes électromagnétiques » : Un enterrement de première classe !‏

Proposition de loi « Ondes électromagnétiques » : Un enterrement de première classe !

1er février 2013 - par Priartem et Agir pour l’Environnement - Thème : La gestion des risques :: La réglementation

InfoPresse datée du 31 janvier 2013

Paris, le 31 janvier 2013 – La proposition de loi relative aux ondes électromagnétiques, proposée par la députée Laurence Abeille, devait être débattue à l’Assemblée nationale ce jour. Il n’en sera rien puisqu’une motion de renvoi en commission des affaires économiques a été adoptée, synonyme d’abandon pur et simple de cette proposition de loi ! Pour que cette proposition de loi soit débattue, il faudrait que le groupe EELV utilise une nouvelle fois une niche parlementaire. Or, ce groupe politique ne dispose que d’une niche parlementaire par an.
Le dissensus existant entre le gouvernement et certains parlementaires socialistes au sujet de l’adoption du principe ALARA* semble être à l’origine de cet enterrement. Manifestement, le gouvernement craint le débat parlementaire et opte pour une certaine forme de déni de démocratie !
Cet abandon s’inscrit en droite ligne des caricatures dont nous a abreuvés la ministre en charge de l’économie numérique.
En laissant entendre que la question des ondes électromagnétiques se résumerait à une accumulation de « peurs irrationnelles », la ministre en charge de l’économie numérique sort de son rôle de garante de l’intérêt public pour revêtir les habits d’une avocate des intérêts bien compris des opérateurs de téléphonie mobile.
Pour les associations, il est grand temps que cette question de santé publique soit l’affaire de la ministre de la santé, grande absente de ce débat. Au regard des signaux sanitaires récurrents entourant cette question, il est profondément scandaleux que le gouvernement opte pour un enterrement de première classe d’une proposition de loi pourtant nécessaire.
* Principe qui oblige les opérateurs à exposer les riverains d’antennes à des niveaux aussi bas que possibles


Contact presse :
Stéphen Kerckhove, délégué général d’Agir pour l’Environnement – Tél. 06.06.88.52.66
Janine Le Calvez, présidente de Priartém – Tél. 01 42 47 81 54


Mots-clés associés à cet article : Principe de précaution

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Antennes relais - L'enquête de santé réalisée par l' A.S.E.F cité du Général à Aubagne


Immeuble le Général, Aubagne en Provence


la liste des décès et pathologies s'allonge !


17 antennes relais


Début des implantations des Antennes relais sur le toit de l'immeuble : année 1998


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Le 30 Janvier 2013


La ministre de l'Economie numérique, Fleur Pellerin, a mis en garde mercredi contre des "peurs irrationnelles" liées aux ondes radioélectriques, dont "la dangerosité n'est pas scientifiquement étayée"


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Liste ci-dessous mise à jour : Le 24/11/2014


Le 24/11/2014 un nouveau cas d' AVC à l'entrée 43


Le 19/11/2014 un nouveau décès (cancer) à l'entrée 40


Le 15/05/2014 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 43


Le 10/04/204 un nouveau cas grave (cancer du foie) au 40


Le 2/03/3014 un nouveau cas grave (cancer du pacréa) au 42


Le 8/01/2014 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/08/2013 un nouveau cas d'AVC au 43


Le 20/02/2013 un nouveau cas de cancer identifié à l'entrée 40


Le 16/02/2013 un nouveau décès (cancer ?) au 41


Le 12/02/2013 un nouveau cas de crise cardiaque à l'entrée 45


Le 21/12/2012 deux nouveaux cas d' AVC (2007 et 2009) identifiés à l'entrée 40 !


Le 20/11/2012 un nouveau cas de cancer à l'entrée 40 !


Le 7/11/2012 un nouveau décès (crise cardiaque) au 42 !


Un nouveau cas de tumeur (2012) identifié à l'entrée 45 (14 appartements)


Troublant non !


L'enquête de santé ci-dessous a été réalisée en Novembre 2011


En Novembre 2011 l' Association Santé Environnement France (ASEF) regroupant 2500 médecins à menée une étude dans deux cités HLM (13Habitat) des Bouches du Rhône : l'une à Aubagne en Provence à la cité du Général Avenue de Verdun, dont nous sommes locataires (17 antennes relais) l'autre à Aix en Provence cité la Pinède (12 antennes relais).

43 % des 117 locataires de la cité du Général et 16 locataires de la Pinède interrogés se plaignent d' acouphènes (sifflement, bourdonnements dans les oreilles) alors que seulement 15 % des Français disent en souffrir. De même, 55 % des locataires disent souffrir de maux de tête et trouble du sommeil contre seulement 32 % de la population globale.

Et 27 % des sondés avouent avoir du mal à se concentrer contre seulement 4 % des Françai